Anciennes familles de Provence
     

 

(de) Duranty
de Concressault


 

 

La famille de Duranty Concressault, puis des comtes de Duranti, est une branche de la famille Durandy, de Guillaumes. Entrée dans l’administration des finances royales, sous Louis XV, elle acquiert la seigneurie de Concressault et le château de Blancafort dans le Berry, et est admise aux assemblées de la noblesse tenue à Bourges en 1789. Elle s’est éteinte en 1947.

Elle avait adopté les armes de la famille Duranti d’Aix.

 

I – Pierre DURANDY bourgeois de Guillaumes, trésorier de la communauté, père de :

II – Henry DURANDY bourgeois de Guillaumes, consul en 1678, décédé le 9 avril 1700 ; épouse le 24 octobre 1678 en l’église de Guillaumes, Catherine d’HON veuve d’Honoré BELLON, fille de Jean-Louis, bourgeois de la Croix sur Roudoule, et de Marie COSTE, les témoins sont Jean Honoré Bardy, fils de feu Louis, Honoré Lieutaud, fils de feu Jean, et Louis Toche, fils de feu Antoine. Elle meurt le 9 avril 1706. D’où, entre autres :

III – André DURANDY commissaire d’artillerie et garde magasin de la ville et du château de Guillaumes, maire de la ville, baptisé le 10 décembre 1679 à Guillaumes (parrain André Reybaud, marraine Françon Durandi), y décédé le 14 janvier 1738, âgé de 58 ans, inhumé le lendemain ; épouse le 21 juillet 1706 à Guillaumes, Marie-Magdeleine OLLIVE fille d’Etienne, et d’Elisabeth d’AUTHIER de SISGAU, en présence de Louis Richerme, Marc Lions et Joseph Belon. Elle meurt le 29 avril 1730 à Guillaumes. D’où :

  1. Jean Etienne de DURANTY chevalier, seigneur de la Vaulsière et de Puechvilla, habitant de Montpellier, avocat, entrepreneur des hôpitaux de l’armée d’Espagne durant la guerre de Succession d’Autriche, acquiert en 1752 plusieurs biens ayant appartenu au financier Charles-Gabriel Leblanc (une maison à Montpellier, le château et terres de Puechvilla et la Vaulsière et la Tuilerie de Massanes, sise à Grabels), et en 1754 d’une terre à Grabels de Marguerite Rausillac, teste en 1756, appelé à succéder en 1761 à la charge de conseiller du roi en la cour des Comptes, Aides et Finances de Montpellier ayant appartenu à son beau-père mais meurt avant d’en être pourvu ; né le 26 octobre 1706 à Guillaumes, baptisé le lendemain (parrain Etienne Olive, marraine Françoise Durandy), décédé le 15 août 1761 à Montpellier, âgé de 54 ans, inhumé le lendemain ; ses biens sont vendus à sa mort pour 50.000 livres à Jean-Emmanuel de Guignard vicomte de Saint-Priest, intendant de Languedoc ; épouse le 6 mars 1753 en l’église Notre-Dame de Montpellier, et suivant contrat du 28 février précédent (Garcinon, notaire), Anne-Marguerite des VIGNOLLES baronne de la Salle et Salendrenque près d’Anduze (Gard), fille unique et héritière d’Henry (1703-1761), baron et seigneur de la Salle, Salendrenque, Soudorgues, la Fabrègue et Saint-Martin-de-Corconac, Millerines, conseiller du roi en la cour des Comptes, Aides et Finances de Montpellier, et de Suzanne PASTUREL de BARRIERE, en présence des témoins, Claude-François Duranty, frère de l’époux, Claude Fesquet, conseiller honoraire en la cour des comptes, oncle de l’épouse, Gaspard Fesquet, conseiller du ladite cour, cousin germain de l’épouse, Jean Pas, baron de Beaulieu, conseiller honoraire en la cour, et François Pas de Beaulieu, conseiller en la même cour, Louis Benoît auditeur en ladite cour, Daniel Solier, avocat du roi au sénéchal de Montpellier, Antoine Gouan, receveur des tailles du duché de Castres, et Antoine Vernier, secrétaire à l’intendance, et autres parents et amis, l’épouse signe Duranty, son frère Duranty de Valmont. A la mort de son père survenue le 3 janvier 1761, elle désigne son mari dans sa charge de conseiller aux comptes, par acte du 28 janvier, mais celui-ci meurt prématurément ; veuve, elle se remarie par contrat du 11 septembre 1762 passé au château de Lasalle, à Jean-David de TOURTOULON seigneur de Valobscure paroisse de Peyrolle, capitaine au régiment de Bourgogne infanterie, qui sera tué à la défense de Lyon le 29 septembre 1793. D’où :

    1. Henri Jean-Etienne de DURANTY né le 9 février 1754 à Montpellier, baptisé le surlendemain en l’église Notre-Dame (parrain Henry des Vignolles baron de la Salle, Soudorgues, la Fabrègue, Saint-Martin et autres places, conseiller en la cour des comptes, son grand-père, marraine Jeanne de Brunel de Vignoles, sa bisayeule, représentée par Marguerite de Fesquet, de nombreux parents sont présents à ce baptême dont messire Duranty chanoine d’Embrun et des membres de la famille Fesquet), mort jeune.
    2. Balthasar Séverin de DURANTY né le 11 février 1755 à Montpellier, baptisé le 13 en l’église Notre-Dame (parrain Jean-Baptiste Balthasar Duranty, prêtre, chanoine de l’église métropolitaine d’Embrun, marraine Suzanne Magdeleine Pasturel épouse d’Henri des Vignolles baron de la Salle etc., conseiller en la cour des comptes).
    3. Pierre Etienne de DURANTY né posthume le 28 août 1761 à Montpellier, baptisé le 31 en l’église Notre-Dame (parrain Pierre Arnaud, marraine Suzanne Archer).

  2. Joseph DURANTY baptisé le 23 août 1708 à Guillaumes (parrain Joseph Belon, marraine Jeanne Dominici), y décédé le 26 octobre 1710, âgé de 2 ans.
  3. Victor DURANTY né en 1709, commissaire d’artillerie et marie de Guillaumes, marié à Catherine de MATTY. D’où postérité.
  4. Marie-Anne DURANDY baptisée le 23 octobre 1712 à Guillaumes (parrain Etienne Vestier, marraine Marie Magdeleine Lions), épouse le 28 janvier 1737 à Saint-Martin d’Entraunes, Joseph PAYANY notaire, né en 1692, fils de César, notaire, et d’Isabeau de AMICIS. Il meurt le 25 août 1773 à Saint-Martin.
  5. Claude-François qui suit,
  6. Elisabeth DURANDY née le 9 août 1717, décédée le 14 juillet 1796 à Châteauneuf d’Entraunes, âgée de 78 ans ; épouse le 19 août 1737 en l’église de Guillaumes, Pierre-François GINESY notaire royal et collégie de Châteauneuf d’Entraunes au comté de Nice, fils de feu Jean, notaire, et de feue Anne Marie GENESY ; le mariage est célébré par messire Joseph Génésy prieur de Sainte-Marguerite au Puget, en présence de noble Jean d’Authier commandant pour le roi en la place de Guillaumes, noble Joseph Alexandre d’Authier, seigneur de la Penne, Pierre Genesy, notaire du Puget comté de Nice, et de Joseph Dominique Genesy, insinuateur du report de Puget, de Châteauneuf, témoins requis. D’où postérité.
  7. Marie-Claire DURANDY baptisée le 20 août 1720 à Guillaumes (parrain noble André Corporandy d’Auvares, marraine Claire Olivatty).
  8. Jean-Baptiste Balthasar de DURANTY prêtre, chanoine d’Embrun, nommé tuteur des enfants de son frère Jean-Etienne de Duranty, à Montpellier en 1761, baptisé le 7 janvier 1723 en l’église de Guillaumes (parrain Jean-Baptiste Richerme, notaire, marraine Françoise Achardy).
  9. Marie-Thérèse DURANTY baptisée 16 février 1727 en l’église de Guillaumes (parrain Joseph Simon Boety, marraine Marie Olive), épouse le 4 février 1743 en l’église de Guillaumes, Honoré LIONS bourgeois de Guillaumes, fils d’Etienne, bourgeois, et de Marie DURANDY. D’où postérité.

IV – Claude François de DURANTY dit de Valmont (1753), écuyer, seigneur de Concressault (qu’il achète en 1781), Dampierre et Blancafort, chef de division aux finances à Versailles, baptisé le 2 juillet 1716 en l’église de Guillaumes (parrain Claude Corporandy, marraine Marie Ollive), décédé le 26 mars 1788 à Toulon, âgé de 71 ans, inhumé le lendemain au cimetière de la paroisse Saint-Louis, épouse Marie-Agnès de GABRIEL. D’où :

V - François-Marie de DURANTY chevalier, seigneur de Concressault et Blancafort, présent aux assemblées de la noblesse de Bourges en 1789, propriétaire, né en 1755 à Paris, décédé le 1er septembre 1800 en son château de Blancafort, âgé de 45 ans, une croix en métal de 2,30 mètres signalant son décès est érigée sur le chemin de la fontaine Saint-Marc audit lieu, épouse le 4 juillet 1785 à Paris, Jeanne-Marie-Charlotte BOISSONNIERE DEMORNAY née en 1767 à Port-au-Prince (Saint-Dominigue), fille de Charles (1731-1784), receveur des droits publics à Port-au-Prince, capitaine de milice, et d’Amable Louise CARADEUX (1748-1832). D’où :

  1. Alphonse Louis François de DURANTY né en 1786.
  2. Guillaume Antoine François qui suit,
  3. Marie-Louise Charlotte de DURANTY née le 4 septembre 1800 au château de Blancafort (déclaration par Alphonse Louis François Duranty son frère, âgé de 14 ans, et Marie Amable Boissonnière, 18 ans, sa tante). Une peinture représentant la Sainte-Famille, exécutée en 1834 d’après une œuvre de Pierre Mignard, se trouve en l’église Saint-André de Blancafort avec pour signature C. de Duranti (pour Charlotte ou comte ?).

VI - Guillaume de DURANTI de CONCRESSAULT dit le comte de Duranti, seigneur de Concressault, Blancafort et de Launay, ancien page du roi de Hollande, chef d’escadron, propriétaire et maire de Blancafort (Cher), nommé chevalier de la Légion d’honneur par décret du 14 avril 1813, conseiller général du Cher, élu le 29 février 1852, avec l’appui du gouvernement, député du Cher, jusqu’en 1856, officier de la Légion d’honneur (31 ans de services 9 campagnes) ; né le 17 mars 1791 à Paris, décédé en son château de Blancafort le 2 novembre 1856, âgé de 65 ans. Epouse le 9 mai 1833 à Paris, (Vivantine Elise Marie Angélique) Louise BRUNET-DENON âgée de 21 ans, née le 2 janvier 1812, fille de Vivant-Jean (1778-1866), baron de l’Empire (1808), général de brigade (1814), blessé à Austerlitz et à Essling, député de Saône-et-Loire (1842), grand-officier de la Légion d’Honneur (1860), chevalier de Saint-Louis, etc., et d’Elise Rosalie LEFEBVRE. Elle est la petite-nièce du célèbre directeur des musées impériaux Vivant Denon (1747-1825), et a une sœur, la baronne de la Roche-Nully. D’où :

  1. Alfred (Charles Vivant) de DURANTI comte de Concressault, dit le comte de Duranti, propriétaire du château de Blancafort, et d’une propriété à Fontainebleau, président du Cercle de la chasse, auteur d’opuscules et conférences sur l’énigme Naundorff (Recherches sur Louis XVII en 1883, Le Roi mort qui vit en 1884), né le 31 août 1835 à Blancafort, décédé en mai 1905, épouse le 22 août 1864 à Paris (7e), suivant contrat passé le 14 août (Delapalme, notaire à Paris), Louise LEPEZ d’HENIN de COMMAILLE âgée de 19 ans, jumelle de sa sœur, née le 23 septembre 1844 à Paris, fille naturelle et adoptive de feu Elie (1786-1857), baron et marquis de Commaille, officier de cavalerie, anobli par Charles X en 1830, et de Catherine LE PEZ d’HENIN (1813-1888), les témoins sont Albert de Sain de Boislecomte, cousin de l’époux, Paul vicomte de Duranti, son frère, Charles Marie Desnoyers juge honoraire au tribunal de la Seine, et Ludovic comte de Pontval, officier d’infanterie. Elle avait été adoptée avec son frère et ses sœurs par leur père naturel, par testament du 4 septembre 1850. D’où deux filles :

    1. Elise de DURANTI née le 11 février 1866 à Paris (8e), décédée en 1947; épouse à Paris, le 15 novembre 1886 à la mairie du 8e arrondissement, et le lendemain en l’église Saint-Philippe du Roule, Gilbert de DREE comte de Drée, chef de la maison de Drée à l’extinction de la branche aînée, camérier secret de cape et d’épée du Pape, propriétaire, né le 19 décembre 1856 à Grasse, fils de Stanislas (1821-1879), lieutenant de vaisseau, puis vice-consul de France à Neufchâtel en Suisse, Monaco et Liège, chevalier de la légion d’honneur, et d’Augusta de VIRY (1828-1887). Les époux divorcent le 11 février 1908. Il meurt le 7 janvier 1917 à Paris, âgé de 60 ans.
    2. Marie de DURANTI née le 24 septembre 1867 à Paris (8e), épouse le 7 février 1893 à la mairie de Paris (8e), René COLLARD lieutenant d’artillerie de marine domicilié à Fontainebleau, né à Ivry-sur-Seine le 14 juin 1861, fils de feu Alfred Joseph, et de Mathilde TRUDEAU (remariée au capitaine Gabriel HUMBLOT).

  2. Clémence de DURANTI née le 23 juillet 1836 à Blancafort, décédée le 18 mai 1858 au château du Guillier à Plédéliac (Côtes d’Armor) âgée de 21 ans, épouse le 24 juin 1857 à Paris, Théodose BRUNET du GUILLIER, vicomte du Guillier, conseiller général des Côtes-du-Nord, propriétaire demeurant au château du Guillier par Jugon, né le 7 mai 1830 à Plédéliac, fils de Théodose François, comte du Guillier, propriétaire, et de Clotilde Sophie de PENFENTENYO de CHEFFONTAINES. Il se remarie le 3 septembre 1860 à Paris (7e) à Elisabeth LEPEZ d’HENIN de COMMAILLE née en 1841, sœur aînée des filles adoptives du baron marquis de Commaille. Il décède le 16 mars 1912 à Dinard, âgé de 81 ans.
  3. Paul (Dominique) qui suit,
  4. Pauline-Marie de DURANTI née le 28 juillet 1848 à Blancafort, décédée le 6 décembre suivant, âgée de 4 mois.

VII – Paul de DURANTI dit le vicomte de Duranti, maire, propriétaire châtelain de Blancafort, né le 29 décembre 1837 à Blancafort, décédé en 1905 à Blancafort, âgé de 68 ans ; épouse le 19 octobre 1864 à Paris (7e), Elisabeth LEPEZ d’HENIN de COMMAILLE dite Elisa de Commaille, jumelle, née le 23 septembre 1844 à Paris, fille naturelle et adoptive d’Elie (1786-1857), baron de Commaille, lieutenant de chevau-légers, chevalier de la Légion d’honneur (1815), anobli par Charles X en 1830, marquis romain, et de Catherine LE PEZ alias de GALLO ou d’HENIN (1813-1888). Elle avait été adoptée avec ses frères et sœurs par leur père naturel, par testament du 4 septembre 1850. Elle meurt le 29 novembre 1902 au château de Blancafort, âgée de 58 ans. D’où :

  1. Pauline de DURANTI née le 2 février 1866 à Paris (9e), décédée en 1918, âgée de 52 ans, épouse le 8 novembre 1886 à Blancafort, Joseph BARON de MONTBEL, dit le comte Joseph de Montbel, né le 2 février 1861 à Argent-sur-Sauldre (Cher), y décédé le 10 février 1938, fils de Philippe, et de Marie du PRE de SAINT-MAUR. D’où deux filles (Mmes Duhesme et Conte de Bonet), Remarié en 1919 à Anne Marie Germaine PASCAUD.
  2. Guillaume dit William, qui suit,
  3. Charles de DURANTI né le 28 février 1880 à Paris (8e), décédé le 24 novembre 1899 à Paris au domicile de ses parents 15 rue de Téhéran, âgé de 19 ans, inhumé au tombeau familial à Blancafort.

VIII – William de DURANTI dit le vicomte de Duranti, entre dans la marine en 1884, est promu enseigne de vaisseau le 26 novembre 1889 à Cherbourg, réserviste en juin 1896, lieutenant de vaisseau de réserve le 13 mars 1899, chevalier de la Légion d’Honneur, se consacre au journalisme et collabore notamment, pour ce qui concerne les questions maritimes, aux journaux le Yacht, la Revue de Paris, le Correspondant etc., membre de la Ligue maritime française et de plusieurs autres associations, propriétaire ; né le 18 février 1868 à Paris 103 rue du Bac (7e), décédé en 1947 ; épouse le 26 février 1898 à Paris (17e) et en l’église Saint-François de Sales, suivant contrat du 19 février (Godet, notaire à Paris) et malgré l’opposition de ses parents, Marie TISSIER de BEUVERAND de LA LOYERE adoptée par son beau-père le vicomte Armand de Beuverand de la Loyère le 26 mars 1897 (arrêt de la cour d’appel de Paris du 20 octobre 1898), née le 21 février 1870 à Paris, fille d’Alfred TISSIER, maçon, disparu du domicile conjugal en 1874, et de Marie ROUGET, lingère, laquelle s’était remariée au vicomte Armand de La Loyère (1847-1913) ; les témoins des mariés sont le baron Jean de Romeuf, Emmanuel Joubert, employé au ministère de la Marine, Agénor de Beauvallon ancien préfet, et Camille Flammarion. Armand de la Loyère ancien capitaine de la Garde mobile, prisonnier en 1871, fut sous-préfet de Cherbourg, gouverneur du Dahomey et de la Guadeloupe, puis gouverneur honoraire des colonies, châtelain de la Loyère à Chalon-sur-Saône, propriétaire agricole, littérateur (pseud. Paul Mimande), officier de la Légion d’honneur et de l’Instruction publique, etc., décède chez son gendre au château de Blancafort le 17 juillet 1913. Marie de La Loyère, comtesse de Duranti, écrit des chroniques dans Le Figaro, et plusieurs romans et nouvelles sous le pseudonyme d’Elie Dautrin (anagramme de Duranti) (Nos petits pendant la Guerre et nos grands, 1916, L’envolée, 1917, L’absent, 1919, Un Coquin, 1921, joué au théâtre de l’Odéon, La grande vie, 1922, Madio Mati, 1923). Elle meurt presque centenaire à Paris, le 9 août 1969, ruinée et sans famille, et est inhumée à Blancafort. D’où :

  1. Suzanne de DURANTI née le 26 février 1899 à Paris (17e), décédée le 5 septembre 1919 à Bagnères-de-Luchon, âgée de 20 ans, inhumée à Blancafort.

 

 

 
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