Anciennes familles de Provence
   

 

branche de Marseille


 

IV - Gaspard EYSSAUTIER (fils cadet de Gaspard et de Catherine Carluec) procureur au parlement d’Aix, s’établit à Marseille ; baptisé en l’église Sainte-Madeleine d’Aix le 9 août 1653 (parrain Michel Issautier, marraine Marguerite de Bonnaud), décédé le 12 février 1728, inhumé en la paroisse des Accoules ; épouse le 1er août 1675 en l’église de la Madeleine à Aix, Anne COLLAVIER alias Colavery, fille d’André, et d’Anne VELLIN ; d’où :
  1. François qui suit,
  2. Jacques EYSSAUTIER né le 25 octobre 1681 à Aix, baptisé le lendemain en l’église Sainte-Madeleine (parrain Jean Louis Cousin licencié en droit, marraine Angélique de Saurat).
  3. Isabeau EYSSAUTIER baptisée à Marseille en l’église des Accoules le 23 mai 1684, née la veille (parrain François de Béranger, sieur de la Baume, marraine Isabeau de Bourguignon de la Mure), y décédée le 17 juillet 1692.

V - François EYSSAUTIER avocat au parlement de Provence, élu assesseur des échevins de Marseille, né le 4 mars 1679 à Aix, baptisé le 8 en l’église Sainte-Madeleine (parrain Me Maurel de Pontevès, conseiller au parlement, marraine Anne de Pontevès), décédé le 10 mai 1730 à Marseille, âgé de 61 ans, après avoir testé devant Me Ollivier, notaire à Marseille, le 18 août 1727 ; épouse à l’âge de 46 ans, en l’église Notre-Dame des Accoules le 4 octobre 1725, Jeanne Rose CHAUVET fille de Christophe, marchand, et de Françoise GALLE. D’où :

  1. Anne Françoise EYSSAUTIER née le 27 mars 1726 à Marseille, baptisée le même jour en l’église Notre-Dame des Accoules (parrain Gaspard Eyssautier, ancien procureur au parlement, marraine Françoise Galle).
  2. Jean-François Gaspard EYSSAUTIER ecclésiastique, né le 16 septembre 1727 à Marseille, baptisé le même jour en l’église des Accoules (parrain Gaspard de Villages de la Salle et la Gratiane, marraine Eléonore de Villages Monclar), décédé à l’âge de 21 ans le 8 janvier 1749 à Aix, inhumé en l’église du Saint-Esprit.
  3. Joseph qui suit,

VI - Joseph d’EYSSAUTIER écuyer, d’abord directeur général des postes de Provence, nommé en 1765 commissaire principal des Guerres en Roussillon à Perpignan, et reçoit à cette occasion la qualification d’écuyer à titre personnel ; né le 1er janvier 1729 à Marseille, baptisé le même jour en l’église des Accoules (parrain Joseph Portanier, marraine Magdeleine Portanier), mort en 1785 à Perpignan ; épouse par contrat reçu Richard, notaire à Marseille, le 10 août 1751, et le lendemain en l’église Saint-Ferréol, (Catherine) Henriette COLLIN âgée de 24 ans, née le 21 janvier 1727 à Aix baptisée en l’église de la Madeleine, fille de Jean-Baptiste, directeur des postes de Provence, et d’Henriette LE BRETON. D’où :

  1. Marie Anne Jeanne Rose d’EYSSAUTIER née le 29 septembre 1752 à Aix, baptisée le 1er octobre en l’église Sainte-Madeleine (parrain Alexandre Belleville ancien echevin, juge consul de Marseille, marraine Jeanne-Rose Chauvet Eyssautier), épouse le 20 novembre 1777 en l’église de la Madeleine d’Aix, Jacques COYE de CASTELLET écuyer de Tarascon, directeur des postes, âgé de 30 ans, baptisé en l’église Sainte-Marthe le 22 février 1747, fils de noble Joseph Antoine, écuyer, conseiller secrétaire du roi, maison et couronne de France, et de feue Catherine FAILLON, en présence du père de l’épouse, de la mère de l’épouse, et des témoins Jean François André Le Blanc de Castillon procureur général du roi au parlement, Jean-Baptiste Prosper Claude François Le Blanc de Castillon conseiller au parlement, Louis Laurent Joseph d’Estienne conseiller au parlement, Martial François Rollier avocat au parlement conseiller expéditionnaire en la cour de Rome. Il meurt le seize prairial an XI (5 juin 1803).
  2. Joseph-Nicolas-Alexandre qui suit,

VII - Joseph d’EYSSAUTIER commissaire ordonnateur des guerres, né le 24 novembre 1754 à Aix, baptisé le 26 en l’église de la Madeleine (parrain Alexandre Roman écuyer et avocat à Aix, marraine Marguerite d’Alphan), décédé le 24 janvier 1811 à Marseille, âgé de 56 ans ; épouse 1) en 1781 à Paris, Adélaïde Antoinette BOUCHER de SAINT-MARTIN fille de Martin, écuyer, conseiller secrétaire du roi, maison et couronne de France, et de Madeleine-Catherine LOYSANT. Elle meurt le 19 novembre 1789 à Antibes. 2) le 19 février 1790 à Antibes, et par contrat reçu Le Mare notaire, Jeanne CHAILLAN née le 29 mars 1768 à Blaye (Gironde), baptisée le lendemain, fille de Jean-Baptiste (1730-1795), commissaire des classes de la Marine, d’une famille du notariat de Riez, et de Charlotte-Elisabeth DAVID. Elle meurt le 3 octobre 1831 à Paris. D’où :

  1. Du premier mariage : Adélaïde Magdeleine Justine Henriette d’EYSSAUTIER baptisée en l’église Saint-Louis de Toulon, le 25 août 1785, décédée à Noyarey (Isère) le 23 avril 1870, âgée de 84 ans ; épouse le 8 juillet 1801 à Paris, André-Antoine GERBOUD, commissaire des guerres puis sous-intendant militaire, né à Grenoble le 13 janvier 1776, mort à Moyarey le 28 mai 1841, fils d’André, notaire à Grenoble, et de Madeleine VIEUX. Dont postérité dans la famille Michal.

  2. Du second mariage : Charlotte dite Caroline d’EYSSAUTIER née à Antibes le 4 mars 1791, baptisée le lendemain, décédée à Mayenne le 21 juillet 1870, âgée de 79 ans ; épouse à Marseille le 2 mai 1816, Laurent Rose Julien Honoré CANOLLE négociant, né à Marseille le 1er avril 1786, fils de Roméo-Honoré, négocaint, et de Louise Marthe MICHEL. Dont postérité.
  3. Camille d’EYSSAUTIER lieutenant, fait prisonnier lors du passage de la Bérézina le 20 novembre 1812, n’est jamais réapparu ; avait été baptisé à Antibes le 4 septembre 1792.
  4. Florine d’EYSSAUTIER née à Antibes le 6 mai 1794, décédée à Rodez le 5 août 1852, âgée de 58 ans ; épouse à Orange le 18 juin 1823, Siffrein COLONIEU receveur des contributions indirectes, né à Carpentras le 19 avril 1795, décédé à Cairanne le 21 mars 1861, fils d’Etienne-Hyacinthe, receveur des contributions indirectes, et de Catherine-Marguerite SOUMILLE.
  5. Henriette d’EYSSAUTIER née à Marseille le 21 novembre 1795, décédée à Montmartre le 21 juin 1832, âgée de 36 ans, épouse à Paris en l’église Saint-Eustache le 14 octobre 1830, Louis-Auguste MIGER de GIRONVILLE receveur des finances, chevalier de la Légion d’Honneur, fils de Félix, et de Marie SIMONNEAU. Dont postérité dans la famille de Place. Elle avait eu un fils naturel :

    1. Gustave d’EYSSAUTIER dessinateur en châles, attaché à l’une des premières maisons de Paris, fondateur et président de la société de secours mutuels du cachemire, fondateur et administrateur de la société coopérative immobilière des ouvriers de Paris-Ancien, domicilié à Belleville près Paris, né en 1818 à Montélimar, vivant à Paris en 1872. Epouse à Paris le 23 novembre 1844 en l’église Saint-Roch, Virginie BOURCIER fille de Pierre, et de Joséphine MILLE. Elle meurt à Paris en 1889. D’où :

      1. Louise d’EYSSAUTIER née vers 1844, décédé à Paris le 26 novembre 1857.
      2. Léonie d’EYSSAUTIER célibataire, restée auprès de ses parents, et surtout de sa mère atteinte de paralysie, née le 30 mars 1851 et baptisée à Paris le 4 mai suivant dans l’église Saint-Vincent de Paul.

  6. Adolphe qui suit,
  7. Frédéric d’EYSSAUTIER capitaine de gendarmerie à la compagnie des Basses-Alpes, puis lieutenant-colonel de gendarmerie, officier de la Légion d’Honneur (1864) ; né le 11 janvier 1800 à Paris, décédé le 8 novembre 1890 à Gan (Landes), âgé de 90 ans. Epouse 1) le 28 janvier 1830 en la mairie de la Chapelle près Paris, Rose-Françoise BOUTON née à Brest, fille d’Hubert, et de Marie-Jeanne MARCHAND. Elle meurt le 21 mars 1843 à Mont-de-Marsan. 2) le 23 avril 1848 à la mairie d’Albi (Tarn), Elisabeth LOUBERT âgée de 24 ans, née à Saint-Jean d’Août (Landes) le 2 avril 1824, fille de Jean, militaire en retraite à Mont-de-Marsan, et de Louise LAMARQUE. D’où, du premier mariage :

    1. Frédéric d’EYSSAUTIER engagé volontaire en 1843, élève de l’école de Saumur, maréchal des logis en 1848, décoré de la médaille militaire en 1857, passé au 1er Spahis en 1861, chevalier de la Légion d’Honneur (1867), retiré du service en 1868 à Gelos (Pyrénées-Atlantiques), mobilisé en 1870 puis directeur du dépôt de mendicité des Basses-Pyrénées, et enfin commissaire de police ; né le 10 février 1825 à Paris, décédé le 8 juin 1889 à Coussac-Bonneval (Haute-Vienne), âgé de 64 ans. Epouse 1) le 19 mai 1870 à la mairie de Bayonne, Marguerite BOURDILLE institutrice, âgée de 32 ans, née à Peyrehorade (Landes) le 16 février 1838, fille de feu Bernard et de feue Jeanne DAUQUE. 2) de sa relation avec Léonie PAUQUET née le 10 novembre 1852 à Ségur (Corrèze), fille de Mathurin, et de Marie DONNEVES. D’où :

      1. Du premier mariage : Marie d’EYSSAUTIER institutrice à la maison d’éducation de la Légion d’Honneur à Ecouen, née le 10 avril 1872 à Bayonne, décédée le 27 novembre 1961 à Pau, âgée de 89 ans, épouse le 24 septembre 1925 à Paris, Paul FAURE.
      2. Charles d’EYSSAUTIER engagé volontaire en 1891, fait les campagnes du Tonkin et de Madagascar, lieutenant de réserve dans la coloniale en 1911, mobilisé en 1914 et affecté au service des chemins de fer, lieutenant en 1919, décoré du Dragon de l’Annam et de l’Etoile du Bénin, chevalier de la Légion d’Honneur (1921), né le 18 mars 1873 à Biarritz, décédé à Avignon le 11 mars 1946, âgé de 73 ans. Epouse le 18 janvier 1909 à Avignon, Marie GRAMEGNA fille d’Emmanuel et de Marie ARDISSONE.

      3. Du second lit : Alphonse d’EYSSAUTIER employé de la compagnie d’électricité, né le 12 avril 1889 à Coussac-Bonneval (Haute-Vienne), décédé le 22 avril 1942 à Limoges, épouse le 23 août 1919 à Saint-Yrieix la Perche (Haute-Vienne), Amélie OUZEAU née le 20 janvier 1887 à Saint-Yrieix-le Perche, fille de Jean et d’Antoinette MOREAU sa troisième épouse. D’où postérité.

    2. Charles d’EYSSAUTIER engagé volontaire en 1842, lieutenant de dragons en 1860, capitaine de gendarmerie en 1868, fait la campagne de 1871 contre l’Allemagne, chevalier de la Légion d’Honneur (1873), retraité à Pau avec le grade de chef d’escadron de gendarmerie ; né le 13 mars 1829 à Paris (Ve ancien), décédé le 22 mai 1913 à Orthez, âgé de 84 ans. Epouse le 11 octobre 1864 à la mairie d’Orthez, Marie CAZENAVE, âgée de 20 ans, d’Orthez où elle est née le 22 octobre 1843, fille de feu Pierre-Julien, décédé en 1858, et de Claire LOUSTAU. D’où :

      1. Frédéric d’EYSSAUTIER notaire, né le 29 mars 1868 à Orthez, décédé le 23 août 1943 à Salies-de-Béarn, âgé de 65 ans, épouse 1) le 12 juin 1895 à la mairie d’Orthez, Jeanne DETCHEBARNE âgée de 18 ans, née à Orthez le 14 septembre 1876, fils de Pierre, négociant, et de Julie LALANNE. 2) le 22 février 1927 à Habas (Landes), Rose LAGELOUZE fille de Jean et de Marie AUDOIN.

  8. Charles d’EYSSAUTIER architecte puis inspecteur des chemins de fer de l’Est, né à Paris le 2 août 1802, décédé à Mulhouse le 20 mai 1869, âgé de 66 ans ; épouse 1) à Paris, le 27 septembre 1827, Louise-Hectorine-Polyxène CHAUSSIER, décédée à Paris le 10 mars 1832. 2) à Avignon, le 8 août 1837, Joséphine-Marie-Rose VIDAL âgée de 22 ans, née à Avignon le 9 novembre 1814, fille de Jean-Baptiste, ferblantier, et de Rose DUMAS. Décédée le 6 décembre 1890. D’où :

    1. Du premier mariage : Anna d’EYSSAUTIER religieuse de l’ordre de Saint-Charles à Lyon en 1869, en religion soeur Sainte-Géminienne.

    2. Du second mariage : Marie-Rose-Baptistine d’EYSSAUTIER née à Avignon le 24 juin 1838, épouse le 20 octobre 1860 à Strasbourg, Marie-Joseph Emile GILBERT marchand tailleur, fils de Nicolas-François, négociant, et de Marie-Augustine PETIT.
    3. Thérèse Augustine d’EYSSAUTIER née à Avignon le 23 avril 1840, décédée six jours plus tard.
    4. Adrien d’EYSSAUTIER agent puis inspecteur d’assurances, chef de bureau, né à Avignon le 29 avril 1841, épouse à Paris (5e) le 7 mai 1870, Anna ORIEZ âgée de 28 ans, née à Thann en Alsace (Haut-Rhin) le 4 mars 1842 (i202), fille de Vincent, conducteur des ponts et chaussées, décédé en 1861, et de Julie-Victoire CHOFFEL. D’où :

      1. Augustine d’EYSSAUTIER née à Paris (9e) le 27 novembre 1871, épouse le 1er mai 1897 à Vincelles (Yonne), Edgar JACCOUX, industriel à Orléans, veuf de Jeanne Augustine Célestine BRECHEMIER, né à Vincelles le 31 décembre 1864, fils de Joseph Marie Marin, et de Rosalie Augustine BOUTON.

    5. Jeanne-Henriette Charlotte d’EYSSAUTIER née à Paris le 12 octobre 1850, décédée à Strasbourg le 1er mai 1858.

  9. Léon d’EYSSAUTIER capitaine instructeur d’un régiment de dragons, né à Paris le 28 juillet 1806, décédé à Sedan le 16 avril 1848, âgé de 41 ans.

VIII - Adolphe d’EYSSAUTIER chef de bureau au ministère de la Guerre à Paris, officier de la Légion d’Honneur (1857), commandeur de l’ordre de Saint-Grégoire le Grand, né le 9 octobre 1797 à Marseille, baptisé le 18 vendémiaire aux Récollets, décédé le 8 juin 1881 en son domicile à Paris (16e), âgé de 83 ans ; épouse le 20 avril 1826 en l’église Saint-Vincent de Paul à Paris, Anne de CYMON DE SOUVILLE née à Rognes le 8 mai 1801, décédée en 1887 à Paris (7e), fille de Joseph (1748-1810), directeur des glaces de Saint-Gobain, et d’Anne Suzanne BENEZECH (1765-1853) d’où :

  1. Alfred qui suit,
  2. Léon d’EYSSAUTIER employé au ministère de la Guerre, d’abord comme commis puis commis principal (1864) et enfin commis principal rédacteur, fait la campagne de 1870 à la Garde nationale de la Seine, chevalier de la Légion d’Honneur (1886) ; né le 4 janvier 1834 à Paris (IIIe ancien), décédé le 11 mars 1897 à Paris, âgé de 63 ans ; épouse le 5 avril 1869 à la mairie du 6e arrondissement de Paris, Marie de LAURES âgée de 23 ans, née le 12 novembre 1845 à Jouaigne (Aisne), fille d’Edmond (1808-1879) ancien magistrat, et d’Emma FABRY (1820-1913). Elle décède à Jouaigne le 8 août 1899, à l’âge de 53 ans. D’où :

    1. Maurice d’EYSSAUTIER né le 28 mars 1875 à Paris (7e), décédé le 28 mai 1958 à Alger, âgé de 83 ans ; épouse le 10 janvier 1946 à Alger, Valentine NOVAILLER âgée de 50 ans, née le 9 juin 1895 à Pontcharra (Ain), fille d’Auguste et de Rose PERRET. Elle meurt le 7 janvier 1955. D'où un fils, reconnu:

      1. Jacques d’EYSSAUTIER né le 11 novembre 1922 à Paris (16e), décédé le 5 juillet 2005 à Aix. D’où postérité.

    2. Edmond d’EYSSAUTIER élève HEC, ingénieur, puis avocat à la cour d’appel de Paris, propriétaire, né le 25 décembre 1877 à Paris (7e), décédé le 15 août 1950 à Paris (16e), inhumé à Montmartre ; épouse le 1er août 1903 à Paris (16e), Marthe COURET de VILLENEUVE née le 28 janvier 1888 à Paris, fille de Jules, propriétaire, et de Justine WALLER (décédée dans l’incendie du Bazar de la Charité en 1897). Elle se remarie le 5 mars 1953 à Dominique DUFAY (1878-1970), propriétaire à Marseille, et meurt le 26 octobre 1966 à Saint-Jean-Cap-Ferrat. D’où:

      1. Gisèle d’EYSSAUTIER née le 14 juin 1904 à Paris (17e), décédée le 11 mars 1974 à Neuilly-sus-Seine, âgée de 69 ans, épouse le 4 novembre 1924 à Paris (8e), Jacques RENARD directeur de banque, né le 16 septembre 1898 à Saint-Germain-en-Laye, fils de Gustave, directeur adjoint de la banque de Paris et des Pays-Bas, chevalier de la légion d’honneur, croix de guerre, et d’Andrée HOLLIER.
      2. Juliette d’EYSSAUTIER née le 27 mars 1908 à Cannes, décédée le 7 octobre 1915 à Paris.
      3. Jean d’EYSSAUTIER directeur de sociétés, né le 10 juillet 1918 à Paris, décédé le 4 décembre 1974 à Saint-Etienne du Grès, épouse le 6 juin 1947, Eliane VERDET-KLEBER fille de Robert et de Nicole LAEDERICH ; d’où postérité.

IX – Alfred d’EYSSAUTIER ingénieur civil employé à la Soudière de Saint-Gobain à Chauny (Aisne), né à Paris le 21 avril 1827, décédé à Lyon (2e) le 16 octobre 1887, âgé de 60 ans ; épouse le 5 avril 1856 à Paris, Marie PIET âgée de 25 ans, née à Paris le 27 septembre 1830, fille de Prosper, et d’Alexandrine LEROUX. Elle meurt à Lyon (1er) le 19 novembre 1905. D’où :

  1. Jeanne d’EYSSAUTIER née à Grenoble le 29 avril 1857, décédée à Saint-Etienne le 13 avril 1937, épouse le 31 mai 1879 en la mairie de Lyon (2e), Eugène BODOY négociant à Saint-Etienne, juge au tribunal de commerce, né à Saint-Etienne le 16 août 1855, y décédé le 26 octobre 1929, fils d’Alexandre, négociant, et de Madeleine BUHET.
  2. Gaston d’EYSSAUTIER avocat à la cour d’appel de Lyon, ancien étudiant des facultés catholiques, né à Chauny (Aisne) le 6 mars 1859, décédé à Lyon le 1er mars 1902 ; épouse le 16 février 1895 à Lyon (6e), Suzanne AUDIBERT, née le 10 juillet 1862 à Lyon (3e), décédée en 1943, fille de Léon, négociant en soieries, et de Marie MOINAT. Sans postérité.
  3. René qui suit,
  4. Marie d’EYSSAUTIER née à Chauny le 12 juillet 1867, décédée à Saint-Etienne le 3 mars 1936, âgée de 68 ans ; épouse le 27 décembre 1892 à Lyon, Ernest ALLIMANT ingénieur civil des mines, secrétaire général du comité des Houillères de la Loire, né à Givors le 26 février 1853, décédé à Saint-Etienne le 20 mars 1937, veuf de Marthe Marie Georgette COMBIER (épousée en 1882, décédée en 1890), fils de Claude et de Jeanne COLLET, témoins Claudius et Michel Allimant, frères de l’époux, Léon d’Eyssautier, oncle de l’épouse, et Eugène Bodoy son beau-frère. Il meurt en 1937, âgé de 85 ans. D’où postérité.

X - René d’EYSSAUTIER licencié en droit, notaire à Caluire près Lyon, né à Chauny (Aisne) le 25 juillet 1860, décédé le 29 mai 1919, âgé de 58 ans ; épouse le 27 avril 1889 à la mairie du 2e arrondissement de Lyon, Sabine COSTE née à Lyon le 2 janvier 1862, y décédée le 22 novembre 1949, fille d’Eustache, propriétaire, et d’Emma DENAVIT, les témoins sont Louis Coste, notaire à Lyon, oncle de l’épouse, Edmond Payen, rentier, Victor Colonieu avocat, et Gaston d’Eyssautier avocat, frère de l’époux.

D’où six enfants qui continuent.

 

 
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