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Anciennes familles de Provence | |||
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rameau d'Alphonse de Lenfant
VII - Alphonse de LENFANT écuyer (fils de Charles François avocat, et de Françoise Desgranges), commis à cheval des contributions indirectes à Darney, retraité à Montélimar (Drôme), né le 1er novembre 1791 à Tollaincourt (Vosges), baptisé le 4 mai 1792 en ladite église (parrain Jean-Claude Charles Chana du Coin, officier d’infanterie, proche parent paternel de l’enfant, représenté par Charles Soyer, garçon de la paroisse, marraine Françoise de Reydelet, veuve de Mr du Coin, ancien capitaine au régiment de Montmorin, représentée par Marie-Barbe Ailly), décédé le 10 octobre 1867 à Montélimar maison Franjon 33 rue Mercerie, âgé de 76 ans ; épouse le 20 septembre 1813 à la mairie de Toul (Meurthe-et-Moselle), Catherine BRABANT, âgée de 19 ans et demi, née à Toul le 22 ventôse an II, fille de Norbert, greffier de la justice de paix du canton de Toul, décédé le 15 avril 1807, et de Catherine STIRE, présente, ainsi que les parents de l’époux, et François Hubert Thierry, avocat, directeur de l’octroi de Nancy, oncle paternel par alliance de l’épouse, Claude Munier, notaire impérial à Pont-à-Mousson, et Louis René Simonnet, avoué près le tribunal de Toul. Elle meurt le 12 janvier 1864 à Montélimar, âgée de 70 ans. D’où :
VIII – Charles Antonin François Alexandre de LENFANT employé des contributions indirectes en la ville de Beaune (Côte-d’Or), né le 12 février 1822 à Darney (Vosges), décédé avant 1896, épouse le 8 janvier 1859 à la mairie de Beaune, Marie COURTOT âgée de 22 ans, née à Beaune le 4 décembre 1836, fille de Simon, liquoriste, et de Jeanne LOICHET, présents au mariage, ainsi que Jean-Baptiste Loichet, aubergiste à Beaune, grand oncle de l’épouse, François Manière, propriétaire à Beaune, grand oncle, Ambroise Cossard, employé des contributions indirectes, et Jean-Baptiste Joseph Moncharmont, commis greffier au tribunal de Beaune. D’où :
IX - Edouard de LENFANT maréchal des logis chef au 2e régiment de chasseurs d’Afrique à Oran, en 1884, lieutenant au 1er chasseurs en 1888, en garnison à Sampigny (Meuse) en 1895, officier de cavalerie en retraite en 1896, intéressé aux concours hippiques, domicilié à Melun (36 av. Thiers), né à Beaune le 22 octobre 1859 ; épouse le 6 août 1896 à la mairie du 5e arrondissement de Paris, Camille JACQUIN institutrice, âgée de 30 ans, divorcée de Paul Gustave LELOUP le 3 mai 1890, née à Paris le 21 juin 1866, fille de Pierre Alexandre, décédé, et de Thérèse DUPONT, présente. Ils légitiment leur fils Jean-Edouard, âgé de 2 ans et demi. D’où : X
– Jean-Edouard de LENFANT appelé au service
militaire en 1913, brigadier au 13e régiment de dragons le 15
novembre 1914, maréchal des logis le 12 février 1915,
sous-lieutenant de réserve le 20 avril 1918, admis dans les
cadres de l’armée active avec le grade de lieutenant le 26
juin 1919, passé au 22e régiment d’aviation en juillet 1920,
ayant à son actif plus de 90 bombardements, chevalier de la
Légion d’Honneur par arrêté du 17 avril 1919, domicilié à
Luxeuil (Haute-Saône), né à Châlons sur Marne le 17 novembre
1893, reconnu par son père le 20 juillet 1895 à Bar-le-Duc,
décédé le 14 janvier 1936, âgé de 42 ans ; épouse 1) le 24
avril 1919 à Provins, Raymonde LAURENT. 2) le 6 mars 1931 à
Arcachon, Marie Julie Madeleine CHAMPAGNE veuve de Marcel Jean
Marie Elie GARRIGUES, née le 11 mai 1890 à la Chagneraie,
décédée le 21 novembre 1978 à Bordeaux, fille de Jean Joseph
Marcelin Albert, notaire, et de Marthe Marguerite VERROUT.
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