(de) Posilis

I - Georges de POSIL décédé avant 1579, père de :

1. Claude qui suit,
2. Jacques de POSILIS, de Peruys, ép. par contrat du 4 janvier 1579 Suzanne GEOFFROY ou JAUFFROY fille de noble Antoine, des Mées.
3. ? Marguerite de POSILIS veuve de Claude ANDRE, de Turriers, citée en 1618.

II - Claude de POSILIS reçu docteur en droits en l’université d’Aix (18 janvier 1558), avocat au parlement de Provence, huguenot, « demandeur en restitution d’un manteau à luy prins au temps des troubles » le 12 mars 1565, mis en possession de l’héritage de Georges de Posilis comme tuteur de son frère Jacques, par sentence du 25 février 1567, épouse Douce BANDOLY catholique, d’où :

1. Pierre qui suit,
2. Joseph POSIL baptisé le 9 novembre 1567 à Saint-Mary de Forcalquier (parrain François Colombi, marraine l’épouse de Gaspard Bandoli fils de Philippe).
3. Jean de POSILIS baptisé le 22 octobre 1584 à Saint-Mary (parrain Elzias Bertrand, marraine Anne Melve).

III - Pierre de POSILIS chirurgien de Forcalquier, économe de la l’église de la R.P.R. de Forcalquier cité en 1618, baptisé le 21 août 1564 à Saint-Mary de Forcalquier, épouse par contrat du 23 mars 1597 Suzanne de BERLUC fille de Joseph receveur du diocèse, avocat, et d’Isabeau de MAGNAN. D’où :

1. Joseph de POSILIS baptisé le 25 avril 1599 à Saint-Mary de Forcalquier (parrain Joseph Berluc, marraine Marguerite Bandoly).
2. Isabeau de POSILIS baptisée le 14 décembre 1600 en l’église Saint-Mary de Forcalquier (parrain François Vallansan, marraine Isabeau Thion).
3. Hercule de POSILIS baptisé le 30 mars 1603 en l’église Saint-Mary de Forcalquier (parrain Me Hercule Habert, marraine Catherine de Posillis).
4. Suzanne de POSILIS baptisée le 15 août 1604 à Saint-Mary (parrain Augustin Berluc, marraine Rachel de David) épouse en 1629 Jacques LIEUTAUD notaire royal, procureur au siège de Forcalquier.
5. André de POSILIS baptisé le 5 septembre 1611 à Saint-Mary (parrain Balthasar Berluc docteur et avocat au siège, marraine Marguerite Berluc).
6. Marguerite de POSILIS légataire de sa sœur en 1673, épouse (François) Louis RODON, docteur en médecine, de Marseille. D’où postérité.