Anciennes familles de Provence | ||||
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branche Robert d'Eshougues
VI - André ROBERT d’ESHOUGUES propriétaire (fils de Joseph avocat, et de Marie-Anne de Laugier), obtient l’ajout de d’Eshougues par ordonnance royale du 12 décembre 1818, né à Manosque et ondoyé le 17 juillet 1764, baptisé le 8 juillet 1766 en l’église Saint-Sauveur, décédé à l’âge de 67 ans le 11 mars 1834 à Manosque ; épouse le 21 décembre 1807 à Marseille, Eugénie AUDA née à Marseille le 16 juillet 1791, fille d’Antoine André Marie Gaspard, écuyer, avocat à Marseille, issu d’une ancienne famille du comté de Nice, et de feue Marie Honorée GIGNOUX, décédée à Avignon le 10 octobre 1806, les témoins sont Jean-Louis Ricard, président du tribunal de première instance de Marseille, Jean-André Brun avocat et avoué près ledit tribunal, Esprit de Clapiers Collongue, propriétaire à Manosque, et Henri Pascal Perrier, négociant à Marseille. Eugénie Auda meurt le 14 mars 1846 à Marseille, âgée de 54 ans. D’où :
VII – Antoine Edouard ROBERT d’ESHOUGUES négociant à Marseille puis garde champêtre et propriétaire à Sahouria, département d’Oran, né le 22 décembre 1810 à Marseille, décédé le 2 juin 1881 à Oran, âgé de 70 ans ; ses biens à Sahouria sont vendus par adjudication en 1884. Epouse 1) le 2 janvier 1845 à Ténès (Algérie), malgré le refus de sa mère, Mathilde PLANCHON née le 5 mai 1816 à Bayeux (Calvados), fille de feu Guillaume Germain, et de Marie Victoire BENARD. Elle meurt le 19 janvier 1851 à Mostaganem. 2) le 6 octobre 1860 à la Stidia Georges Clémenceau (Algérie), Christine SERVAT née le 9 novembre 1822 à Parès (Ariège), fille de Jean-Pierre, décédé en 1830, et d’Anne DEDIEU, décédée en 1843 à Soulin. D’où :
VIII – Joseph ROBERT d’ESHOUGUES facteur à Sahouria, cultivateur et garde champêtre, né le 24 mai 1860 à la Stidia (Oran), épouse le 3 juin 1882 à Sahouria (Algérie), Teresa ANTON, couturière, née le 11 novembre 1861 à Oran, fille de José Domingo, brigadier à la compagnie de chemin de fer PLM, et de Maria Teresa MAS, les témoins sont Victor Carretier beau-frère, et Henri Anton frère de l’épouse, Pierre Piquemal et Gustave Bon, amis. D’où :
IX – Alban
ROBERT d’ESHOUGUES fonctionnaire à Oran,
rédacteur principal au PTT, officier du Nicham Iftikar (1923)
; épouse en l’église Saint-Esprit d’Oran,
Antoinette PELENC. D'où postérité.
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