branche d'Aix

IV - François MOUTTE écuyer, premier consul de Pertuis, baptisé le 10 janvier 1565 à Pertuis (parrain François de Beau, marraine Catherine Camaret), épouse 1) par contrat du 27 mars 1588 à Pertuis (Jehan, notaire), Louise BONNAUD fille de Raimond. 2) le 4 novembre 1610 en l’église de Pertuis, Suzanne du MAYNE, en présence de Pierre Filassier greffier royal et de Roman Giraud. D’où, du premier lit :

1. Elzias MOUTTE baptisé le 16 février 1591 en la cathédrale Saint-Sauveur d’Aix (parrain Elzias Goyran, marraine Marie de Gay).
2. Antoine MOUTTE baptisé le 2 mai 1593 à Pertuis (parrain Antoine Moutte, marraine Thorone Goiran).
3. Anne MOUTTE baptisée le 18 février 1599 à Pertuis (parrain Honoré Brunet docteur en médecine, marraine Marguerite Martelli), épouse par contrat du 28 février 1612 à Aix, et le 1er mars 1612 en l’église de Pertuis, Joseph COMBE bourgeois, consul de Pertuis, fils de Raymond, avocat, et de Marthe de SAINT-MARTIN sa seconde épouse.
4. Pierre MOUTTE baptisé le 26 août 1601 à Pertuis (parrain Pierre d’Albette greffier, marraine Anne Athenoux).
5. André qui suit,

V - André MOUTTE écuyer d'Aix, avocat du roi au parlement de Provence, puis conseiller du roi au siège de la sénéchaussée d'Aix, reçu le 16 mars 1640 dans un office de crue, jusqu'en 1676, également procureur, baptisé le 26 février 1604 à Pertuis (parrain André Jehan notaire royal de Pertuis, marraine Delphine Marsal) ; épouse 1) par contrat du 7 juin 1626 à Aix, Jeanne HUGOLENY fille d'Antoine, conseiller du roi contrôleur des Finances, et de Lucrèce de SIMEONIS. 2) Anne BLANC. 3) par contrat du 25 janvier 1637 à Aix, Anne de TROUILLAS fille de Jean Antoine, marchand d'Aix, et de Douce de SAUVECANE. D’où :

1. Du second lit : Jeanne MOUTTE baptisée le 25 novembre 1632 en l’église Sainte-Madeleine d’Aix (parrain Honoré Moutte, marraine Jeanne Blanc).
   
   
2. Du troisième lit : Jean Antoine qui suit,
3. François MOUTTE baptisé le 3 novembre 1641 à la Madeleine d’Aix (parrain Blaise Trouillas, marraine Magdeleine Sauvacane).
4. Marie MOUTTE baptisée le 6 août 1643 en l’église de la Madeleine d’Aix (parrain Jean Antoine Trouillas receveur, marraine Douce Sauvecane).
5. Anne MOUTTE inhumée le 8 avril 1656 aux Grands Carmes en la chapelle de Sainte-Anne.

VI - Jean Antoine MOUTTE écuyer d'Aix, docteur en droit et avocat à la cour du parlement, conseiller du roi au siège de la ville d'Aix, maintenu noble par jugement du 16 mars 1668, décédé le 4 mai 1716 inhumé le lendemain ; épouse 1) le 10 avril 1663 en l'église de la Madeleine d’Aix, Claire d’ESPITALIER, fille de feu Jean-Baptiste, et de Catherine de GARCIN, en présence de Jean Féraudi prêtre, Jean-Baptiste Vinol, Bernard Ollivier. 2) Thérèse de VITALIS. D’où :

1. du premier mariage : Marie Thérèse de MOUTTE baptisée le 15 août 1664 en la cathédrale Saint-Sauveur d’Aix (parrain André Moutte, conseiller au siège d’Aix, marraine Catherine Espitalier), inhumée le 9 mars 1668 aux Grands Carmes.
2. Jean-Baptiste MOUTTE baptisé le 14 mars 1666 en la cathédrale Saint-Sauveur d’Aix (parrain Jean-Baptiste Espitalier, marraine Marguerite de Caulavery).
3. François MOUTTE baptisé le 7 novembre 1667 en la cathédrale Saint-Sauveur d’Aix (parrain François Moutte, marrraine Suzanne Farratery).
   
4. Catherine MOUTTE baptisée le 17 novembre 1670 en l’église du Saint-Esprit, née la veille (parrain Honoré Peisson avocat, marraine Catherine d’Espitalier femme d’Antoine Court).
5. Magdeleine de MOUTTE née le 21 juillet 1673 à Aix, baptisée le lendemain en l’église Saint-Sauveur (parrain Boniface de La Palud receveur des décimes du diocèse d’Aix, marraine Françoise d’Abesson femme de M. Giraud d’Aix).
   
6. Anne de MOUTTE épouse le 19 janvier 1707 en l’église du Saint-Esprit à Aix, Honoré BERRIN, d’Aups, fils d’Honoré docteur en médecine, et de feue Magdeleine HERAUD.
   
   
7. du second mariage : Thérèse de MOUTTE baptisée le 21 juin 1675 à Saint-Sauveur (parrain Louis Bougerel docteur en droits, marraine Thérèse de Perrin).
8. Louis qui suit,
   

VII - Louis MOUTTE écuyer d’Aix, condamné comme faux noble par ordonnance du 31 juillet 1697.