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(d') Archimbaud

Famille très ancienne de Pertuis, dont le nom apparaît sur les
listes des syndics communaux dès le milieu du XVe siècle (voir
les Chroniques
de Pertuis, de Mme Line Gibert). Agrégée à la noblesse par
simple usage de qualifications, elle sera en conséquence
condamnée, ou désistera d’elle-même ses prétentions, lors des
enquêtes de vérification menées en 1668, avant d’obtenir un
jugement de maintenue dans le second ordre par l’intendant
Lebret le 5 août 1710.
Aux XVIIe et XVIIIe siècles, les Archimbaud de Pertuis se
disaient issus des Archimbaldi ou Arcimboldi de Milan, qui
avaient donné « plusieurs archevêques et cardinaux, et un
évêque de Nice, dans le quatorzième siècle », et
adoptèrent les mêmes armes qu’eux. Cette prétention rapportée
par La Chesnaye, naturellement invérifiable, gagna les faveurs
du marquis Arcimbaldi de Milan, qui avait désigné « à sa
succession, au cas que ses deux fils viendraient à mourir sans
enfants mâles, les deux Messieurs d’Archimbaud, de Pertuis
».
Cette éventualité ne se produisit pas, et ce sont, à l’inverse,
les Archimbaud de Pertuis qui s’éteignirent en 1743, laissant
leur nom et leur héritage à leurs neveux Bonaud, de Pertuis,
créés peu de temps après marquis d’Archimbaud par bref
pontifical, et dont la dernière du nom, Camille de Bonaud
d’Archimbaud, entra par son mariage en 1882 dans la famille
Démians, de Nîmes. Par décrets des 29 septembre 1961, 22 janvier
1962 et 10 avril 1963, les petits-enfants de Camille furent
autorisés à relever le nom de leur aïeule et s’appeler Démians-Bonnaud
d’Archimbaud.
La famille Archimbaud de Pertuis a probablement eu des
ramifications anciennes dans le pays ; une branche existait à la
Tour d’Aigues, une autre à Puymichel puis Marseille.
Armes : d’or à une bande de gueules chargée de trois
molettes d’argent, selon Artefeuil. Ce sont également les
armes portées en écartelé par les Bonnaud d’Archimbaud, et
similaires aux armes des Arcimboldi (d’or à la bande de
gueules chargée de trois étoiles d’argent - Rietstap).
Pompée d’Archimbaud, bourgeois de Pertuis, fait toutefois
inscrire des armes différentes à l’Armorial général, d’azur
à la bande d’argent chargée de trois étoiles de sable,
tandis que Pierre d’Archimbaud, aide-major et lieutenant des
galères du roi, enregistre : de gueules au lion d’argent.
I
- Guillaume ARCHIMBAUD, de Reillanne d’où :
- Jacques
qui suit,
- Béatrice
ARCHIMBAUD épouse 1) suivant contrat reçu Jean Alexis,
notaire à Reillanne, Martin THORAME. 2) par contrat du 15
mai 1455 au château de la Tour d’Aigues, et dotée de 250
florins, Jehan BOCHIER. Elle teste le 12 février 1499 à
Pertuis alors malade.
- Ne
ARCHIMBAUD épouse Pierre MERCIER alias lo Boyron.
II
– Jacques ARCHIMBAUD épouse Alaète veuve de Pierre, de Pont de Sorgues.
D’où :
III
– Guillaume ARCHIMBAUD marchand savetier, bourgeois et syndic de Pertuis,
originaire de Reillanne, teste le 12 mars 1495 et meurt avant
1499, épouse par contrat du 16 janvier 1476 à Pertuis,
Honorate de BEAU dotée de 100 florins, fille de Geoffroy ou
Gaufridy, marchand habitant de Pertuis, et de Béatrice MORGES,
et sœur d’Honorat de Beau, marchand. D’où :
- Jehan
ARCHIMBAUD
- Bertrand
qui suit,
- Delphine
ARCHIMBAUD
- Nicolane
ARCHIMBAUD épouse par contrat du 8 juillet 1509, Pierre de
GAUFRIDI, habitant de la Tour d’Aigues ; sa dot est de 100
florins.
- Alayone
ARCHIMBAUD épouse 1) par contrat du 22 juillet
1509, Jehan MOTTE, de Cadenet, dotée de 100 florins. 2) par
contrat du 10 septembre 1526 à Pertuis (Leauthaud, not.)
Bertrand BERNARD, notaire de Lambesc.
IV
- Bertrand ARCHIMBAUD honnête homme, marchand et
bourgeois de Pertuis, capitaine, qualifié écuyer, syndic de la
ville en 1524 puis consul en 1540, achète une maison de Pierre
et Jean Meyran, teste à Pertuis le 17 avril 1556, alors
malade, fait des legs à ses filles Jehanne, à marier,
Marguerite épouse de Loys Sauvecane, Nicolane épouse de Claude
Girard, et Isabeau épouse d’Antoine Motte, nomme pour
héritiers universel Philippe, Pierre et Jehan, ses fils ;
épouse par contrat du 3 février 1521 à Pertuis, Catherine
VINCENS fille de Guillaume, marchand de Pertuis, et
d’Anthonone GORRET ; elle est dotée de 700 florins. D’où :
-
Pierre qui suit,
-
Philippe ARCHIMBAUD capitaine,
premier consul de Pertuis, bourgeois, teste le 22 juin 1571
à Pertuis, puis le 15 août 1601, décède le lendemain ou
surlendemain, épouse par contrat du 19 août 1567 à Pertuis,
Jehanne ARNAUD de Pertuis, fille de Jehan, licencié en
droits, praticien, et de Jehanne d’ARLES ; l’épouse est
dotée de 600 écus, l’époux est assisté de son frère Pierre.
Elle teste, alors malade, le 20 février 1587. 2) par contrat
du 18 février 1593 (acte inachevé), Isabeau de FILHOL veuve
de Jerôme BERNE, de Goult, fille capitaine Mathelin, dit de
Vaquet, du Thor, et de Claude de RIQUIER, elle est assistée
de Pierre et Jérôme de Filhol. D’où, du premier mariage :
-
Lucrèce ARCHIMBAUD baptisée le
3 mars 1570 en l’église de Pertuis (parrain Simon
Saint-Martin, marraine Elziasse Athenoux).
-
Jehan ARCHIMBAUD couturier de
Pertuis, épouse Jehanne SAUVECANE d’où :
-
Jacques ARCHIMBAUD installé à
Nyons en Dauphiné, vivant en 1605.
-
Marguerite ARCHIMBAUD baptisée
le 26 mars 1588 en l’église de Pertuis (parrain Louis
Martin, marraine Marguerite N.).
-
Jean ARCHIMBAUD baptisé en
janvier 1590 à Pertuis (parrain Claude Bernard, marraine
Lucrèce de la Roquette).
-
Véronique ARCHIMBAUD baptisée
le 22 mars 1593 à Pertuis (parrain noble Esprit Moutte,
marraine noble Véronique Michel).
-
Marguerite ARCHIMBAUD baptisée
le 4 juin 1596 à Pertuis (parrain Antoine Constantin,
marraine Marguerite Michel).
-
Marguerite ARCHIMBAUD épouse en
1547 Loys SAUVECANE,
marchand de Pertuis.
-
Nicolane ARCHIMBAUD teste le 2
avril 1587 en faveur de ses fils, étant menacée par la
contagion, et enfermée dans sa maison, épouse par contrat du
27 mars 1548, dotée de 750 florins, honnête homme Claude
GIRARD.
-
Isabeau ARCHIMBAUD teste le 31
août 1582 à Pertuis, épouse par contrat du 10 septembre 1550
à Pertuis, Antoine MOUTTE
bourgeois de Pertuis.
-
Jehanne ARCHIMBAUD teste le 23
mars 1587 à Pertuis, alors malade, en doute la contagion,
épouse par contrat du 28 novembre 1557 à Pertuis, Gaspard
BERNARD, fils d’Anthoine et de Béatrice LIEURE, l'épouse est
assistée
de Jehan et Philippe Archimbaud ses frères, et dotée de 1000
florins. Il teste malade le 3 mars 1587 et meurt avant le
23 mars suivant.
V
- Pierre d’ARCHIMBAUD écuyer de Pertuis,
capitaine, baptisé en février 1541 (parrain Pierre Tiran,
marraine Elziasse Roux) ; épouse par contrat du 22 août 1564 à
Pertuis, Honorade FOUQUE dotée de 1600 florins, fille de
Jean-Pierre, apothicaire de Pertuis, et de Hélène ESTIENNE ;
elle fait donation de ses droits dans la succession de Pierre
Fouque, son frère, au capitaine Pierre Archimbaud son fils,
meurt à Pertuis et est inhumée le 18 mars 1624 en l’église des
Carmes de Pertuis ; d’où :
-
Pierre qui suit,
- René
ARCHIMBAUD
- Jacques
ARCHIMBAUD
VI
- Pierre d’ARCHIMBAUD écuyer de Pertuis, capitaine
pour le roi, baptisé le 14 mars 1568 en l’église de Pertuis
(parrain Me Jean Pierre Fouque, marraine Catherine Vincent)
teste le 4 novembre 1585 à Pertuis (en faveur de ses oncles
Philippe et Jean Archimbaud), partant alors à la guerre pour
le service du roi, puis le 10 octobre 1605 ; épouse en 1597,
Suzanne PIGNOLY dame de Grammaison et en partie de Montfort,
fille de Barnabé, écuyer d’Aix, et d’Anne de VITALIS, d’Apt
(laquelle s’était remariée en 1578 à Claude Bernard écuyer de
Bellafaire). D’où :
-
Elisabeth d’ARCHIMBAUD baptisée
le 28 avril 1599 à Pertuis (parrain Claude Bernard, marraine
Elisabeth de Vachères ?).
-
Suzanne d’ARCHIMBAUD baptisée
le 20 août 1600 à Pertuis (parrain capitaine Philippe
Archimbaud, marraine Suzanne du Mayne).
-
Jean Louis d’ARCHIMBAUD baptisé
le 8 décembre 1602 à Pertuis (parrain Jean Louis de Sauret,
marraine Anne de Vitalis d’Apt).
-
Marie d’ARCHIMBAUD baptisée le
15 août 1604 à Pertuis (parrain André d’Oraison, marquis
dudit lieu, marraine Honorade de Piolenc).
-
Honorade d’ARCHIMBAUD baptisée
le 22 mars 1606 à Pertuis (parrain Pompée de Bernardi,
marraine Honorade de Fouquet), épouse en 1646 en l’église de
Pertuis, noble Melchion d’ORGON
écuyer, sieur de Puimichel, fils d'Antoine, écuyer, sieur de
Puimichel, et de Gabrielle de MOUTTE.
-
Marguerite d’ARCHIMBAUD baptisée
le 21 septembre 1607 à Pertuis, décédée à l’âge de 76 ans,
inhumée le 18 février 1684 en l’église Saint-Nicolas de
Pertuis, épouse Esprit RAVELY.
-
Pierre d’ARCHIMBAUD écuyer de
Pertuis, cornette de la compagnie de chevaux-légers de M. de
Rispe, est condamné comme faux-noble à payer une amende de
50 livres (15 novembre 1668), baptisé le 8 mars 1609 à
Pertuis (parrain Pierre Théric, marraine Isabeau Nissard),
décédé à l’âge de 75 ans, inhumé le 24 juillet 1684,
céibataire.
-
André qui suit,
-
Anne ARCHIMBAUD baptisée le 14
février 1612 à Pertuis (parrain Henri de Simiane conseiller
du roi en la cour, sieur de la Coste, marraine Marguerite de
Suze dame de Buous).
-
Jean Louis d’ARCHIMBAUD religieux
de l’abbaye Saint-Pierre de Montmajour lès Arles, il prend
l’habit sans professer exprès, ce qui donnera lieu,
lorsqu’après 20 ans de prise d’habit il réclamera à son
neveu ses droits de succession de père et de mère, à une
question pointue de droit, et à un arrêt du parlement de
Provence rendu en sa faveur le 16 mars 1674 et commenté par
Hyacinthe de Boniface (Arrests notables vol.III
p.869), baptisé le 17 décembre 1614 à Pertuis (parrain Jean
Louis du Mas de Castellane baron de Cuers, marraine Marthe
d’Oraison vicomtesse d’Allemagne), décédé à l’âge de 87 ans,
et inhumé au couvent des Carmes de Pertuis le 25 mai 1702.
-
Anne ARCHIMBAUD baptisée le 23
novembre 1616 à Pertuis (parrain André d’Archimbaud,
marraine Honorade d’Archimbaud).
VII
– André d’ARCHIMBAUD écuyer, sieur de Chantereine,
docteur en droits et avocat au parlement de Provence,
lieutenant de cavalerie dans le régiment de Boissac en 1650,
puis officier de galère, est blessé d’un coup de mousquet à la
cuisse en combattant la flotte espagnole, nommé viguier et
capitaine royal de la ville de Pertuis (lettres patentes
signées à Paris le 27 février 1664), en suite du décès de
Jean-Baptiste Sollier, reste en fonctions trois années, teste
le 17 avril 1668 (Martelly, notaire à Pertuis) ; baptisé le 16
septembre 1610 en l’église de Pertuis (parrain Mr d’Estienne
sieur de Saint-Jean, marraine Claire de Simiane), décédé le 19
septembre 1668 à Pertuis, âgé de 58 ans ; épouse le 22
juillet 1642 à Pertuis, Françoise d’ANJOU
âgée de 16 ans, née à Pertuis en 1625, fille de Sébastien,
écuyer, et de Lucrèce de ROUX. Veuve, elle désiste
volontairement les prétentions nobiliaires de son époux par
déclaration du 30 septembre 1668. D’où :
-
(Jean) Pompée qui suit,
-
Suzanne d’ARCHIMBAUD baptisée le
29 août 1646 à Pertuis (parrain Clément d’Anjou avocat en la
cour du parlement, marraine Suzanne de Pignoly), décédée à
l’âge de 44 ans, inhumée le 24 juin 1691 en l’église de
Pertuis, épouse le 29 avril 1663 en ladite église, André
BONNAUD écuyer, veuf de Charlotte de BOULIERS, fils de feu
Antoine et de Marguerite de SAVOURNIN. D’où postérité qui
prend le nom de Bonnaud d’Archimbaud.
-
Jeanne d’ARCHIMBAUD baptisée le
1er mai 1648 à Pertuis (parrain Honoré d’Anjou, marraine
Jeanne d’Anjot).
-
Louis d’ARCHIMBAUD écuyer de
Pertuis, co-seigneur de Chantereine, premier consul de
Pertuis, bénéficiaire du jugement de maintenue de noblesse
rendu le 5 août 1710, baptisé le 25 août 1650 à Pertuis
(parrain Esprit de Ravely, marraine Polixène de Guiran). Par
acte passé à Pertuis le 11 février 1743, il laisse son
héritage à son petit-neveu Alphonse de Bonnaud, à charge de
porter le nom et les armes des Archimbaud ; meurt le 12
juillet 1743, âgé de 92 ans, inhumé le lendemain.
-
Pierre d’ARCHIMBAUD écuyer,
mousquetaire du roi en 1673, passé dans la Marine, enseigne
de galère le 4 février 1685, sous-lieutenant le 31 mai 1690,
aide-major des galères le 1er janvier 1699, reçoit le brevet
de lieutenant des galères du roi le 29 mars 1712 accompagné
de la croix de l’ordre de Saint-Louis, avait fait
enregistrer ses armes à l’Armorial de 1696 ; il est ensuite
nommé lieutenant du roi pour la ville de Pertuis, par
lettres patentes de provision de cet office créé par édit de
1709, données à Marly le 28 juin 1711 ; baptisé le 14
septembre 1651 à Pertuis (parrain Antoine d’Orgon prieur de
Linieux ? et religieux de Montmajour, marraine Catherine de
Ripert), décédé à l’âge de 66 ans, inhumé le 24 février 1718
à Pertuis.
-
Sébastien d’ARCHIMBAUD baptisé
le 17 janvier 1654 à Pertuis (parrain Sébastien d’Anjou,
marraine Honorade d’Archimbaud).
-
Clément d’ARCHIMBAUD écuyer,
cornette de cavalerie, né le 26 août et baptisé le 8
septembre 1655 à Pertuis (parrain Clément d’Anjou conseiller
du roi, marraine Marguerite d’Archimbaud), décédé avant
1693.
-
André d’ARCHIMBAUD né le 9
février 1657, baptisé le lendemain à Pertuis (parrain Pierre
d’Archimbaud, marraine Anne Marie d’Orgon).
-
Jean d’ARCHIMBAUD né le 2
octobre 1658, baptisé le surlendemain à Pertuis (parrain
Jean d’Anjou, marraine Françoise d’Anjou).
-
Marguerite d’ARCHIMBAUD baptisée
le 22 décembre 1659 à Pertuis (parrain François Forbin,
marraine Marguerite de Monier), épouse le 5 mars 1690 en
l’église de Pertuis, Barthélémy LAURENS, de Marseille, fils
de feu Laurent, et de Magdeleine MAUREL.
-
Catherine d’ARCHIMBAUD née le 9
août 1661, baptisée le surlendemain à Pertuis (parrain
Pompée d’Archimbaud, marraine Catherine de N.).
-
Philippe d’ARCHIMBAUD écuyer,
lieutenant de dragons de la compagnie de M. de Gaillard,
teste au moment de partir à la guerre le 7 février 1693
(Gilly, not.) ; né le 13 décembre 1662, baptisé le même jour
à Pertuis (parrain Pierre d’Archimbaud, marraine Suzanne
d’Archimbaud).
-
Antoine d’ARCHIMBAUD capitaine
au régiment de Champagne, pensionnaire du roi, né le 24
septembre 1664, baptisé le même jour à Pertuis (parrain
André Bonaud écuyer, marraine Suzanne d’Anjou), décédé à
l’âge de 70 ans, le 15 mars 1735, inhumé le lendemain en
l’église des Carmes de Pertuis, épouse Françoise BERTON.
-
Anne d’ARCHIMBAUD baptisée le 3
décembre 1666 à Pertuis (parrain Louis d’Archimbaud,
marraine Suzanne d’Archimbaud).
VIII
– Pompée d’ARCHIMBAUD écuyer, co-seigneur de
Chantereine, héritier de son oncle Pompée de Bernardy seigneur
de Chantereine (par son testament du 17 juillet 1657), nommé
capitaine et viguier de Pertuis (provisions datées de Paris le
20 février 1669), obtient un jugement de maintenue de
noblesse, avec son frère Louis, du 5 août 1710. Epouse le 11
juin 1669 à Marseille, en l’église Notre-Dame des Accoules,
Marguerite d’AUGUSTINE de SEPTEMES fille d’Ambroise, seigneur
de Septèmes, et de Léone de GERENTE, en présence des parents
et amis, et de Balthasar Boulegon, Gaspard Demane, Claude
Rossolin, tous trois prêtres habitués de ladite paroisse, et
André Meyffren prêtre.
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