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branche de Pélissanne
IV - Boniface de GARCONNET écuyer
d’Aix installé à Pélissanne (fils de Charles
et de Lucrèce de Suavis), avocat en la cour, baptisé le 29 mai
1612 en la cathédrale Saint-Sauveur d’Aix (parrain Boniface de
Rians, avocat, marraine Honorade Rouxel), inhumé le 14 janvier
1679 dans l’église paroissiale de Pélissanne, âgé de 68 ans ;
épouse en 1660 à Pélissanne, Anne d’ICARD décédée et inhumée le
13 février 1696 à Pélissanne, fille de Louis et de Josephe de
MILLE, d’où :
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François qui suit,
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Jacques
de GARÇONNET inhumé le 21 mai 1681 à
Pélissanne, âgé de 17 ans.
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Elisabeth de GARÇONNET décédée à environ
18 ans le 26 juillet 1685, inhumée dans l’église de
Pélissanne.
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Marguerite de GARÇONNET baptisée le 4
juin 1669 à Pélissanne (parrain Pierre Michel avocat,
marraine Marguerite de Pierre), décédée le 20 avril 1720,
inhumée le lendemain à Pélissanne ; enlevée et épousée par
Jérôme de DURANTI,
écuyer, consulaire, veuf de Gabrielle de BERTRAND, fils de
Jérôme, écuyer, seigneur de Saint-Antonin et Saint-Louis
de la Calade, conseiller au parlement, et de Sybille d'ESCALIS sa seconde épouse.
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Jean de GARÇONNET écuyer, né le 14 mars
1672, baptisé le lendemain en l’église de Pélissanne
(parrain Jean d’Icard résidant à Pélissanne, marraine
Angélique Mercurin résidant à Pélissanne) épouse le 16
septembre 1697 à Salon, Elisabeth MARTINON, de Salon,
fille d’Antoine, et de Thérèse de ROSTAING, en présence
d’Antoine Dalmas chirurgien, Philippe Colin bourgeois,
Joseph Coudoulet clerc tonsuré, et Melchion Rostaing,
l’époux signe de Garsonnet. D’où :
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Anne Thérèse de GARÇONNET née le 12
juillet 1700, baptisée le lendemain à Pélissanne
(parrain François de Garçonnet, marraine Thérèse de
Rostaing), décédée le 20 mai 1702 inhumée le
lendemain.
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Thérèse
de GARÇONNET née le 28 juillet 1703,
baptisée le même jour à Pélissanne (parrain Simon
Montagnier bourgeois, marraine Marguerite de Rostaing,
de Lançon).
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Boniface
Bruno de GARÇONNET né le 17 baptisé le 18
juillet 1707 à Pélissanne (parrain François de
Garçonnet, marraine Marie Mathillon) décédé le 11 mai
inhumé le 12 mai 1712 à Pélissanne.
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Jean-François
de GARÇONNET né le 7 baptisé le 8 juin 1710
à Pélissanne (parrain François Michel, avocat,
marraine Magdeleine d’Estienne).
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Thérèse
de GARÇONNET née à Pélissanne, décédée à
Aix le 28 août 1779, âgée de 58 ans, épouse le 22
juillet 1722 à Pélissanne, Joseph de CHIAVARY de
MONTREDON, sieur de Montredon, ancien chevalier de
l’ordre de Malte, fils de Louis, et de feue Anne de
GREFFEUILLE, d’Arles paroisse Saint-Lucien. Il meurt
en Arles, sans postérité, le 15 janvier 1777 et est
inhumé le lendemain en l’église des RP. Prêcheurs
paroisse Saint-Martin, âgé de 91 ans.
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Paul
Bruno de GARÇONNET né et baptisé le 31 mars
1716 à Pélissanne (parrain Paul Bonfillon avocat en la
cour, marraine Elisabeth d’Azan) décédé le 2 inhumé le
3 avril suivant.
V
- François de GARSONNET écuyer d’Aix, habitant
Pélissanne, où il épouse 1) le 7 janvier 1698, Magdeleine
ESTIENNE fille de feu Dominique, bourgeois, et de Thérèse de
MONTAGNIER, en présence de Joseph de Bourgarel, Dominique
Montagnier, et François Garjane notaire. 2) en 1725 à Orgon,
Anne Marie de MONTAGNIER. D’où, du second mariage :
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Guillaume Joseph de GARÇONNET baptisé le
5 janvier 1727 à Pélissanne, né la veille (parrain Joseph
Perrin, avocat, marraine Marie Montanier) décédé le 3
inhumé le 4 mars 1728.
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Charles Mitre de GARÇONNET écuyer de
Pélissanne, officier d’infanterie au régiment de la Tour
d’Auvergne, assiste à l’assemblée de la noblesse d’avril
1789, né le 10 baptisé le 11 août 1728 à Pélissanne
(parrain Jean Charles Montanier, marraine Elisabeth
d’Estienne), décédé à l’âge de 74 ans le 19 brumaire an XI
(1802) en sa bastide de Pélissanne quartier de
Saint-Laurent, épouse le 31 janvier 1770 à Pélissanne,
Françoise Rosalie RICARD fille d’Etienne, et d’Anne
BOURAUD, de Pélissanne, le mariage est béni malgré
l’opposition formée par ses parents (Guillaume François et
Marie-Thérèse de Garçonnet, M. Montagnier, d’Orgon, et Mme
de Montredon, d’Aix) ; en présence de Jean-Baptiste André,
bourgeois, Jacques Estienne marchand, Joseph Rousset
ménager, et Henri Roch Roux sacristain, tous de
Pélissanne, l’époux signe de Garçonnet. D’où :
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Marie
Charlotte de GARÇONNET née le 17 juillet
1770 baptisée le lendemain à Pélissanne (parrain Henri
Ricard, bourgeois, marraine marie Françoise Ricard)
décédée à l’âge de trois ans et inhumée le 5 octobre
1773.
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Anne
Hippolyte Euphrosine de GARÇONNET baptisée
le 26 juin 1772, née la veille, à Pélissanne (parrain
Etienne Ricard boulanger, marraine Anne Hippolyte
Ricard).
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Marie
Françoise Charlotte de GARÇONNET née le 15
ondoyée le 17 juin baptisée le 21 juillet 1775 à
Pélissanne (parrain Charles Elzéar le Montagnier
ancien capitaine au régiment Dauphin infanterie,
chevalier de Saint-Louis, marraine Marie Françoise
Ricard).
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Rosalie
Victoire de GARÇONNET née le 28 baptisée le
29 juillet 1777 à Pélissanne (parrain Jean-Baptiste
Casimir Montagnier avocat, marraine Marie Elisabeth
Victoire Perrinet).
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Suzanne
Victoire Adélaïde de GARÇONNET née le 14
baptisée le 15 décembre 1779 à Pélissanne (parrain
Germain Marie Guétain bourgeois, marraine Suzanne
Réculé).
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Guillaume François qui suit,
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Marie Anne Hippolyte de GARÇONNET née et
baptisée le 23 janvier 1732 à Pélissanne (parrain Nicolas
Perrin ancien garde Marine, marraine Hypolite Bertrand).
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Marie
Thérèse Elisabeth de GARÇONNET baptisée le 5
avril 1734 à Pélissanne (parrain Elzéar Montagnier prêtre
prieur de Saint-Andiol, marraine Thérèse de Montagnier)
décédée le 27 mars 1762 âgée de 27 ans, inhumée en
l’église Saint-Sauveur d’Aix.
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Jean Louis de GARÇONNET baptisé le 3 mai
1736 à Pélissanne, né du même jour (parrain Jean Mérendol,
marraine Marguerite Dalmas).
VI
- Guillaume François de GARÇONNET écuyer de
Pélissanne, assiste à l’assemblée de la noblesse d’avril
1789, né et baptisé début novembre 1730 à Pélissanne
(parrain noble Jean-Baptiste de Castellane d’Aluy, marraine
Marianne de Perrin), condamné à mort le 7 pluviôse an II par
le Tribunal révolutionnaire de Marseille comme ayant prêché
la désobéïssance à la Convention ; épouse le 5 février 1782
à la Madeleine d’Aix, Jeanne HENRICY, âgée de 31 ans, née à
Aix le 11 décembre 1751, fille d’Esprit Alexandre, avocat en
la cour, et de Jeanne CHAUVET, présents et consentants,
témoins Me Joseph Jean-Baptiste Ricard, avocat en la cour,
greffier des Etats de Provence, Jacques André, ancien
procureur au parlement, Joseph André étudiant en droit, et
Jean Joseph Palet porteur de place. Elle se remarie en 1797
à François BONNAUD négociant originaire de Salon.
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