Anciennes familles de Provence
   

 

branche de la Garcinière


 

IV - Anthoine ARMAND (fils de Nicolas) bourgeois qualifié écuyer, propriétaire du domaine du Rodier à Marseille, second consul de Marseille (1553), teste le 1er janvier 1586, épouse par contrat du 29 décembre 1523 à Marseille, Barthélémie SICANESE fille de François, marchand (lequel serait fils d’un podestat de Bonifacio en Corse, originaire de Gênes), et de Catherine BOËT ; et sœur de Jaumette Sicanese épouse du notaire Bernard Bègue en 1520. D’où :

  1. Jehan ARMAND baptisé le 8 février 1527 en l’église Saint-Martin (parrain Jehan Mere, marraine Catherine Bessière).
  2. Catherine ARMAND baptisée le 4 novembre 1531 en l’église Saint-Martin (parrain vénérable Jacques Arneudi bénéficier de l’église épiscopale Major de Marseille, marraine Catherine Massatelle).
  3. Grégoire ARMAND baptisé le 4 octobre 1535 en l’église Saint-Martin (filius honorabilis Anthoni Armandi filii quondam Nycolay et domine Berthollomee conjugum, son parrain honorable Me Grégoire Reberi notaire, marraine Marguerite Nouvel femme de noble François Nouvel).
  4. Anthoine ARMAND baptisé le 10 juillet 1541 en l’église Saint-Martin (parrain Anthoine Quane, marraine Catherine Pintade).
  5. François qui suit,
  6. Magdeleine ARMAND épouse par contrat du 10 mai 1561 à Marseille, Claude BONIFACE écuyer, seigneur de Cabanes, fils de Vivaud, seigneur de Cabanes, et de Catherine de RUSSAN. Déshérité par son père (codicille du 20 octobre 1562), il entra en procès contre lui.
  7. Nicolas ARMAND capitaine d’une compagnie de cent hommes d’armes, sert sur terre et sur mer, notamment au Portugal où il est blessé d’une mousquetade à la jambe, est prié par Catherine de Médicis de rester sur place avec les troupes françaises à l’île de Tercere (Açores), ce qu’il fait jusqu’à la fin de 1583, reçoit en récompense des lettres patentes de don du consulat pour Lisbonne et la côte portugaise « pour le faire exercer par qui il voudroit », est nommé capitaine de vaisseau du roi, sert en qualité d’aide de camp au siège de la Rochelle (1587), et à diverses opérations importantes par le baron de la Garde, général des galères, est capturé dans une embuscade à la Rochelle, échangé par ordre de la Reine mère, puis tué dans un combat naval.

V - François ARMAND écuyer, seigneur de la Garcinière, capitaine d’artillerie, sert sur les galères du roi dans les guerres d’Italie, et pendant les guerres de Provence, est récompensé de ses services et ceux de son frère par plusieurs faveurs, notamment l’autorisation de racheter la place et seigneurie de son choix qui serait aliénée du domaine (lettres patentes du 23 avril 1575), achète de Mgr de Ragueneau évêque de Marseille, la terre et seigneurie de la Garcinière à Cogolin, avec juridiction haute moyenne et basse, mère mixte et impère, droits de tasque, lods, treizains, herbages et autres, le 18 juillet 1577 (François de Lascours dit Thibaud, not. Marseille), député par la ville de Marseille auprès du roi (10 avril 1578), acquiert du roi les terres, seigneuries et droits seigneuriaux de Quinson et de la Bastidonne au prix de 600 livres, et en reçoit l’inféodation du roi avec bail perpétuel moyennant 30 livres par an (lettres patentes du 16 juillet 1578), reçoit la jouissance d’un jardin situé proche de l’abbaye Saint-Victor de Marseille, ainsi qu’un brevet de gentilhomme ordinaire de la chambre du roi (lettres patentes du 22 août 1578), conseiller de ville (1585), teste à Marseille le 1er janvier 1586 (Geoffroy, not.) puis le 6 avril 1591 en faveur de son fils aîné Jean-Baptiste, est nommé maître de l’hôtel des Monnaies de Marseille (9 mars 1591), résigne ses fonctions vers la fin de 1592, meurt assassiné par les partisans de Cazaux dans sa maison de campagne du Rodier près de Marseille en 1594 ; a été baptisé le 24 décembre 1541 à Marseille ; épouse par contrat du 2 février 1580 à Aix (Abel Hugoleny, not.), Louise d’ALBY fille de feu André, seigneur de Brès et des Crottes, conseiller du roi en la cour des Comptes, Aides et Finances de Provence, et de Magdeleine de LA RIVIERE. D’où :

  1. Françoise d’ARMAND épouse par contrat du 29 mars 1598 à Aix, Alexandre de DONADEI docteur en droits, lieutenant principal civil et criminel au siège de Sault, juge de Sault, fils de Sauvaire, écuyer, audiencier de Cavaillon et l’Isle sur Sorgue, et de Françoise de GEOFFROY.
  2. Anne ARMAND baptisée le 31 novembre 1589 en l’église Saint-Martin (parrain André Gérente, marraine Anne d’Arène).
  3. Jean-Baptiste ARMAND héritier de son père (1591), meurt au service du roi.
  4. Pierre qui suit,

VI - Pierre d’ARMAND écuyer, seigneur de la Garcinière, assiste aux assemblées de la noblesse de 1631 et 1636, présent à l’arrière-ban convoqué par le Maréchal de Vitry contre les Espagnols s’apprêtant à attaquer Cannes, teste le 13 août 1640 à Marseille (Bérard, not.) et institue héritier universel son fils Joseph, épouse le 23 octobre 1616 en l’église Notre-Dame des Accoules, suivant contrat du même jour (Féris, not.), Anne de BORRELY fille de feu Louis, écuyer (des Borel de Ponsonnas en Dauphiné), et de Jeanne MEYNARD, de Toulouse, l’épouse assistée de son frère Jean-Baptiste Borrely. D’où :

  1. Jeanne d’ARMAND jumelle, baptisée le 10 décembre 1618 en l’église Notre-Dame des Accoules (parrain Jehan de Bonifacy, marraine Jeanne Meynard).
  2. Magdeleine d’ARMAND jumelle, baptisée le 10 décembre 1618 en l’église Notre-Dame des Accoules (parrain Jehan Anthoine d’Hostagier, marraine Magdeleine de Bègue).
  3. Joseph qui suit,
  4. Gaspard d’ARMAND lieutenant de la colonelle du régiment de la Mothe-Houdancourt, sert en Catalogne, au siège de Rose, est tué au siège d’Orbitelle en 1646.
  5. Isabeau d’ARMAND religieuse au monastère Sainte-Ursule des augustines d’Aubagne en 1646, fait un testament le 3 janvier 1648.
  6. Magdeleine d’ARMAND

VII - Joseph d’ARMAND de LA GARCINIERE écuyer, seigneur de Garcinière, appelé à l’arrière-ban convoqué par le gouverneur de Provence pour chasser les Espagnols des côtes, se trouve à la prise des îles Sainte-Marguerite (1637), teste le 9 février 1661 (Jean Sossin, not. Marseille) ; baptisé le 4 décembre 1619 en l’église Notre-Dame des Accoules (parrain Paul Borelly, marraine Janette Meynard) ; épouse le 22 avril 1646 en l’église Notre-Dame des Accoules, suivant contrat du 5 avril (Sossin, not. Marseille), Valentine de MANTILLERY fille de Jean-François, écuyer, et de Magdeleine MONGIN. D’où :

  1. Henry d’ARMAND baptisé le 20 août 1648 en l’église Notre-Dame des Accoules (parrain Henri d’Armand conseiller du roi trésorier général de France, marraine Françoise de Mantillery).
  2. Jean-François qui suit,
  3. Scipion d’ARMAND dit le Chevalier de Garcinières, mousquetaire du roi pendant cinq ans, pourvu d’une charge de capitaine d’une compagnie d’infanterie au régiment de la Reine, en récompense des connaissances qu’il avait en science et mathématiques, commande un bataillon dans la vallée du Queiras contre les Huguenots, fait ses preuves pour être chevalier de l’ordre de Saint-Jean de Jérusalem (18 septembre 1681), mais meurt à la tête de sa compagnie contre les troupes savoyardes, en août 1690, avant d’avoir été reçu.
  4. Pierre d’ARMAND né et ondoyé le 22 avril 1654 à Marseille, reste des cérémonies reçues le 25 juin suivant en l’église Notre-Dame des Accoules (parrain Pierre de Loulle avocat en la cour, marraine Magdeleine de Mongin).
  5. Cyprien d’ARMAND baptisé le 16 juillet 1658 en l’église Notre-Dame des Accoules (parrain Cyprien d’Armand, marraine Françoise de Mantillery).
  6. Magdeleine d’ARMAND célibataire, baptisé le 10 mars 1660 en l’église Notre-Dame des Accoules (parrain Jean-François d’Armand, marraine Claire de Mantillery), décédée le 8 décembre 1727, inhumée le lendemain en l’église de la Major.
  7. Françoise d’ARMAND de la GARCINIERE célibataire, née vers 1661, ensevelie le 20 novembre 1699 à Saint-Martin.

VIII - Jean-François d’ARMAND de GARCINIERE écuyer, seigneur de la Garcinière, teste le 22 mai 1694, maintenu dans sa noblesse post mortem, avec ses quatre fils mineurs Joseph, Alexandre, Scipion et Jean-François d’Armand (ordonnance du 10 juillet 1700) ; né et ondoyé le 15 janvier 1650, reçoit les cérémonies complémentaires du baptême le 25 juin 1654 en l’église Notre-Dame des Accoules (parrain François de Mantillery, marraine Claire de Mantillery), décédé peu avant 1700, épouse le 31 mai 1691 en la chapelle de la maison épiscopale de Marseille, Françoise de LEON de LA CEPEDE âgée de 27 ans, fille de Mathieu, seigneur de Treilles et de Feuillants en Languedoc, et de feue Claire de BOSC, union bénie par Mgr de Vintimille du Luc évêque de Marseille. Veuve, inscrite à l’Armorial général mais avec des armes factices (1696), elle se remarie le 25 avril 1701 à Charles de MARLE seigneur de Mongardé et Saint-Clair, lieutenant de galère du roi, capitaine de grenadiers, âgé de 56 ans, et meurt en décembre 1708. D’où :

  1. Scipion qui suit,
  2. Joseph d’ARMAND de GARCINIERE écuyer, seigneur de la Garcinière, né vers 1693, enseveli le 25 décembre 1737 aux Dominicains.
  3. Alexandre d’ARMAND de GARCINIERE chevalier, capitaine d’infanterie, né vers 1695, décédé le 9 février 1772 à Marseille, enseveli le lendemain en l’église Saint-Martin.
  4. Jean François (Mathieu) d’ARMAND de GARCINIERE mort au service du roi.
  5. Valentine Claire d’ARMAND de GARCINIERE morte au berceau.
  6. Magdeleine d’ARMAND de GARCINIERE

IX - Scipion d’ARMAND de GARCINIERE chevalier, seigneur de la Garcinière, né vers 1692, enseveli le 27 mai 1768 en l’église Saint-Loup, signe Darmand de Garcinière (1745), épouse 1) le 25 août 1714 en l’église Saint-Martin de Marseille, suivant contrat de la veille, Thérèse Marquise de CIPIERES décédée le 28 novembre 1715 inhumée le lendemain aux Dominicains, fille de Joseph, écuyer, capitaine d’infanterie, et de Catherine d’HOSTAGIER. 2) le 25 novembre 1717 en l’église Saint-Martin, suivant contrat du 23 novembre, (Françoise) Thérèse LE MAITRE de BEAUMONT fille feu Pierre, seigneur de Beaumont et de Brosses, et de feue Catherine PORRATA de PORRADE. 3) le 9 février 1723 en l’église Saint-Ferréol, Marie Gabrielle de BASTIN fille de Jean-Baptiste écuyer, et de Gabrielle de BIONNEAU. 4) le 3 février 1745 en l’église de Trets, Magdeleine Charlotte DUHAMEL veuve de Pierre REYNAUD, née vers 1693 à Paris, fille de feu Nicolas, et de Geneviève ROYER. Elle décède le 9 novembre 1768 à Marseille, et est ensevelie le lendemain en la paroisse Saint-Loup. D’où :

  1. Du premier lit : Jean-Baptiste d’ARMAND de GARCINIERE né le 16 mai 1715 à Marseille, baptisé le même jour en l’église Saint-Ferréol (parrain Jean-Baptiste d’Hostager aumônier de l’abbaye Saint-Victor, marraine Catherine d’Hostager de Cipières), enseveli le 5 octobre 1715 aux Dominicains, inhumé le 5 octobre suivant aux Dominicains.

  2. Du second lit : Jean-François qui suit,
  3. Anne d’ARMAND de GARCINIERE morte au berceau.
  4. Thérèse d’ARMAND de GARCINIERE morte au berceau.

  5. Du troisième lit : Gabrielle Thérèse d’ARMAND de GARCINIERE née le 12 mars 1724 à Marseille, baptisée le lendemain en l’église Saint-Ferréol (parrain Alexandre d’Armand de la Garcinière, marraine Gabrielle de Bionneau de Bastin), morte au berceau.
  6. Jean-Baptiste d’ARMAND de GARCINIERE dit le Chevalier d’Armand, sert dans le régiment de cavalerie de La Rochefoucauld (1740), participe au siège de Tortone et à la bataille de Plaisance (1746), passe en Espagne où il est garde du corps du roi, revient en France, nommé lieutenant au régiment Royal-Marine (24 février 1747), se trouve à Lawfeld et au siège de Maastricht, capitaine d’une compagnie de la Marine détachée à l’île de Saint-Domingue (8 octobre 1750), aide-major de ces troupes au nord de l’île (1er juin 1753), se retire du service à cause de sa santé (25 août 1760), colon et exploitant de café, auteur de Mémoire et notes sur ma famille (1770, bibl. d’Avignon), rentre en Provence où il est lieutenant des maréchaux de France au département de Marseille (28 août 1773), assiste à l’assemblée de la noblesse de Marseille pour les Etats Généraux (2 avril 1789), émigre pendant la Révolution ; né le 2 décembre 1725 à Marseille, baptisé le même jour en l’église Saint-Martin (parrain Jean-Baptiste de Bastin, marraine Marianne Ferrand Fabre), épouse 1) le 18 juillet 1765 au Cap (Saint-Domingue), Suzanne SMITH de WENDERLOTTEN veuve d’Antoine Paul BOUCHERIE négociant à Bordeaux ; elle meurt au Cap le 28 octobre 1782, et est inhumée le même jour au cimetière. 2) le 30 septembre 1795 à Marseille, religieusement le 24 octobre 1796 en l’église Saint-Laurent, Marie-Anne de COMBIS d’AUGUSTINE née le 15 avril 1747 à Pertuis, décédée le 1er février 1818 à Marseille, fille de Jean-Baptiste écuyer, lieutenant de la noblesse de Provence, et de Marie-Jeanne de FRANC. D’où, du premier mariage :

    1. Marie-Anne d’ARMAND de la GARCINIERE religieuse du monastère des Dames de la Miséricorde à Aix, où elle entre le 24 novembre 1777.
    2. Suzanne Magdeleine d’ARMAND de la GARCINIERE née en février 1767 à Saint-Domingue, épouse le 3 janvier 1796 à Marseille (13 niv. An 4), Joseph Antoine de LA BAULME écuyer, officier de cavalerie, garde de Monsieur, chevalier de Saint-Louis, veuf de Jeanne Marie OLLIVE, âgé de 62 ans, né le 1er janvier 1734 à Burzet, décédé le 10 janvier 1803 à Paris, fils d’Antoine Joseph, écuyer, et de Thérèse MAZADE de LA RIVE. D’où une fille (Mme Guillaume-Nicolas Poirot de Martial).
    3. Victoire Constance d’ARMAND de la GARCINIERE

  7. Claire Thérèse d’ARMAND de la GARCINIERE née le 22 février 1728 à Marseille, baptisée le même jour en l’église Saint-Martin (parrain Dominique de Montgrand seigneur de la Napoule, marraine Claire de Bionneau Garnier), morte au berceau.
  8. Jean-Baptiste Scipion d’ARMAND de la GARCINIERE garde de l’étendard à Marseille (1er juillet 1746) ; né le 28 janvier 1731 à Marseille, baptisé le même jour en l’église Saint-Martin (parrain Jean-Baptiste de Bionneau capitaine d’infanterie, marraine Magdeleine de Folard), décédé le 12 mai 1748 à Marseille, inhumé le lendemain en l’église des Frères Prêcheurs.
  9. Jean Ange d’ARMAND de la GARCINIERE garde de la marine à Toulon (4 avril 1748), décédé le 19 mai 1753 à Marseille.

X - Jean-François d’ARMAND de GARCINIERE chevalier, seigneur de Garcinières, officier de marine, fut successivement garde de l’étendard à Marseille (31 mars 1734), sous-brigadier (1er novembre 1741), enseigne de galère (1er février 1743), retiré du service avec pension (1er janvier 1749), né le 28 février 1720, baptisé le même jour en l’église Saint-Martin (parrain Jean-François Le Maistre, marraine Françoise Thérèse de Menc de Campagne), épouse le 18 juin 1748 en l’église Saint-Martin, Thérèse de GANTEL GUITTON de MAZARGUES née le 14 juin 1727 à Marseille, fille de Nicolas, écuyer, seigneur de Mazargues, et de Magdeleine DUMON, l’épouse signe Therese de Mazargues. D’où :

  1. Scipion qui suit,
  2. Nicolas François André d’ARMAND de GARCINIERE né le 30 novembre 1750, baptisé le même jour en l’église Saint-Martin (parrain Nicolas de Gantel Guitton, seigneur de Mazargues, marraine Magdeleine Charlotte du Hamel), enseveli le 19 mars 1753 aux Dominicains.
  3. François d’ARMAND de GARCINIERE né le 12 février 1754 à Marseille, baptisé le lendemain en l’église Saint-Martin (parrain François de Gantel Guitton chevalier de l’ordre militaire de Saint-Louis, brigadier des armées du roi, lieutenant-colonel du régiment de cavalerie d’Egmont, marraine Marie-Anne Le Maistre de Signoriny), décédé le 19 mars 1754, inhumé le lendemain au cimetière de Penne-sur-Huveaune.

XI - Scipion d’ARMAND de GARCINIERE chevalier, seigneur de Garcinières, propriétaire de la bastide du Rodier, vend la terre et fief des Garcinières aux frères Louis et Thomas Féraporte, bourgeois de Cogolin, le 27 avril 1773 (Ollivier, not. Marseille) ; né le 17 mai 1749 à Marseille, baptisé le même jour en l’église Saint-Martin (parrain Scipion d’Armand chevalier, seigneur de la Garcinière, son grand-père, marraine Anne Elisabeth de Gantel Guitton de Mazargues épouse de Jean-François Le Maitre de Beaumond sa tante).




 
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